(…) Tension structurante plutôt que thématique, plutôt qu’un genre, le Memento mori est le milieu angoissé dans lequel se développe le travail de l’artiste. On se souviendra donc à chaque fois (à chaque nouvelle pièce) que l’on va mourir, qu’on était déjà mort avant de naître, que la mort, sous des formes multiples, est partout.
Programme tragique, certes, mais dont la réalisation, multipliant références et clins d’oeil, pourrait s’avérer jubilatoire.
Gilles Lopez